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Y'a de l'idee

Nostalgie Belgique

« Y’a de l’idée », c’est LA séquence des initiatives positives, des solutions et des projets porteurs de sens pour un monde harmonieux, juste et durable. Parce que nous sommes persuadés qu'il existe des solutions créatives et innovantes pour un monde plus solidaire et respectueux des objectifs de développement durable, il nous tient à cœur de mettre en lumière ces initiatives citoyennes qui visent à améliorer notre société. On y parle d’alimentation, de justice sociale, de solidarité, de santé, d’énergie, de respect de la nature et de la planète, d’environnement, d’écologie et de transition écologique, d’économie circulaire, de consommation et de production responsable… « Y’a de l’idée » met en lumière les Objectifs de développement durable (SDG / ODD), notre responsabilité sociétale et celle des entreprises (RSE)… Cette chronique fait la part belle aux graines semées et aux changements entamés pour faire fleurir un avenir empli d’espoir, de paix et une société faite d’alternatives. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

Location:

United States

Description:

« Y’a de l’idée », c’est LA séquence des initiatives positives, des solutions et des projets porteurs de sens pour un monde harmonieux, juste et durable. Parce que nous sommes persuadés qu'il existe des solutions créatives et innovantes pour un monde plus solidaire et respectueux des objectifs de développement durable, il nous tient à cœur de mettre en lumière ces initiatives citoyennes qui visent à améliorer notre société. On y parle d’alimentation, de justice sociale, de solidarité, de santé, d’énergie, de respect de la nature et de la planète, d’environnement, d’écologie et de transition écologique, d’économie circulaire, de consommation et de production responsable… « Y’a de l’idée » met en lumière les Objectifs de développement durable (SDG / ODD), notre responsabilité sociétale et celle des entreprises (RSE)… Cette chronique fait la part belle aux graines semées et aux changements entamés pour faire fleurir un avenir empli d’espoir, de paix et une société faite d’alternatives. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

Language:

French


Episodes
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Cancer du sein et Octobre Rose : une séance de sport adaptée pour accompagner les femmes touchées, conseils et témoignages

10/2/2025
Chaque année, 10 000 femmes apprennent qu'elles ont un cancer du sein. Heureusement, la recherche avance à grands pas et les chances de guérison sont de 90% quand la maladie est diagnostiquée à un stade précoce. Le mois d'Octobre Rose vise à rappeler toute l'importance du dépistage. il met aussi en lumière toute une série d'initiatives qui soutiennent les femmes (et les hommes!) touchées par la maladie. Parmi elles, il y a cette séquence de sport à laquelle Y'a de l'idée a assisté. Cette séance était spécialement pensée pour des femmes ayant vécu l’épreuve du cancer. Car si les traitements affaiblissent le corps et minent le moral, l’activité physique reste pourtant un précieux allié pour la récupération et le mieux-être. C’est ce qu’a rappelé Nele Adriaenssens, coordinatrice de la revalidation oncologique à l’hôpital UZ. Oui, après une opération ou des traitements lourds, retrouver le chemin du sport est difficile. Mais selon elle, il est essentiel de bouger, à son rythme, avec douceur, pour stimuler le corps et retrouver confiance. Le mouvement, même adapté, devient alors une thérapie à part entière. Sur place, nous avons aussi rencontré Véronique, une professeure de fitness en rémission. Pour elle, transmettre son expérience et accompagner d’autres femmes est une évidence. Elle-même sait combien le sport aide non seulement à renforcer le physique, mais aussi à alléger l’esprit et à retrouver le sourire et la confiance en soi. Mais peut-on vraiment tout faire après un cancer ? La réponse est nuancée. Certains exercices sont à proscrire, comme les extensions de poids au-dessus de la tête après une opération. En revanche, des alternatives existent : travailler avec des charges légères, privilégier des mouvements sécurisés, et surtout écouter son corps. Ce besoin d'écoute et d'adaptation, les participantes l’ont ressentie, à l’image de Cynthia. En récidive, elle doit composer avec des inflammations liées à ses traitements. Sa sœur Shirley, en rémission, l’accompagnait pour partager ce moment fort en émotions. Ces témoignages rappellent que l’activité physique n’est pas un luxe, mais une ressource précieuse. Elle aide à retrouver force, énergie et estime de soi. Et au-delà du corps, elle rassemble, crée du lien et redonne espoir. Même les hommes, qui représentent environ 1 % des cas de cancer du sein, ne sont pas oubliés dans ce message d’encouragement et de solidarité. Comme le résume si bien résumé Véronique, l’instructrice : bouger, c’est déjà un pas vers la reconstruction. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Un livre qui lutte contre les stéréotypes de genre : "Et toi, tu veux faire quoi plus tard?"

9/30/2025
Quand on demande aux enfants ce qu’ils veulent faire plus tard, les réponses sont souvent colorées de stéréotypes. Pompiers et astronautes pour les garçons, infirmières ou institutrices pour les filles. Et pourtant, les passions et les métiers n’ont pas de genre. C’est ce que démontre le livre Et toi, tu veux faire quoi plus tard ?, paru chez Albin Michel et signé par Audrey Derquenne, avec des illustrations pleines de fraîcheur de Marie-Lou Lesage (@les_ptites_meufs). Ce guide des métiers pas comme les autres s’attaque aux idées reçues. Sur la couverture, on découvre des femmes dans des métiers encore trop perçus comme masculins : cheffe de caserne pompier, astrophysicienne, secouriste de montagne, menuisière… À l’intérieur, chaque portrait met en avant des parcours réels, souvent semés d’embûches mais toujours inspirants. On y croise Amandine, conductrice poids lourd. Après un premier essai sur une bétonneuse, elle se prend de passion pour ce métier, affronte les remarques sexistes, réussit son certificat de transport et fonde avec son compagnon une entreprise florissante de camions céréaliers. On découvre aussi Pascal, passionné de cuisine devenu esthéticien à 50 ans. Son choix de réorientation, atypique, prouve qu’il n’est jamais trop tard pour embrasser une nouvelle vocation. Le livre donne également la parole à Willy, sage-femme, ou Vinh, prothésiste ongulaire : autant d’hommes qui ont choisi des métiers souvent associés aux femmes. Tous racontent leur déclic, leurs difficultés mais aussi la fierté d’exercer une profession qui leur ressemble. Chaque portrait est accompagné d’un encadré pratique : principales missions, qualités requises, niveau d’études… De quoi aider les lecteurs à mieux comprendre le quotidien de ces métiers et à se projeter, sans se laisser limiter par les clichés. Et toi, tu veux faire quoi plus tard ? n’est pas qu’un simple livre de témoignages, c’est un outil pédagogique et inspirant qui ouvre le champ des possibles, pour les jeunes… et pour les adultes qui les accompagnent. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Solidarité : des détecteurs de logement et des propriétaires solidaire qui aident les réfugiés à trouver un toit

9/29/2025
Depuis plus de 30 ans, l’asbl Convivial agit à Bruxelles pour faciliter l’installation durable des réfugiés et primo-arrivants. Car s’intégrer passe par l’apprentissage de la langue, l’accès à l’emploi… mais avant tout par un toit. Le logement, première étape vers une vie digne et autonome, reste pourtant un défi immense. Convivial propose deux manières concrètes d’agir : Devenir “détecteur de logement”Être “propriétaire solidaire” Car pour les réfugiés, l’accès au logement est encore plus complexe : pas ou peu de réseau, méconnaissance du marché, préjugés de certains bailleurs… L’objectif de Convivial est clair : multiplier les opportunités grâce à des citoyens mobilisés et créer des mises en relation sécurisées. Intéressé ? Le 1er octobre, une soirée de rencontre aura lieu dans les locaux de Convivial à Anderlecht dès 18h30 (Place de la Vaillance 15D) Au programme : présentation du projet et témoignages de propriétaires déjà engagés. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Daar Daar : le site qui traduit le meilleur de la presse flamande et rapproche les communautés linguistiques

9/26/2025
En Belgique, on ignore souvent ce qui se passe de l’autre côté de la frontière linguistique. C’est précisément pour combler ce fossé qu’est né Daar Daar, un site fondé en 2015 par deux journalistes de la VRT, David Charlier et Joyce Hazard, et un professeur de sciences politiques français. Leur objectif : rendre accessible en français le meilleur de la presse flamande et germanophone, souvent méconnue en Wallonie et à Bruxelles. Sur le site, on retrouve des articles traduits par de vrais traducteurs – pas par une intelligence artificielle – qui offrent un autre regard sur l’actualité belge. Opinions, analyses, portraits : autant de contenus qui enrichissent la compréhension mutuelle entre communautés. Là où certains voient une barrière, Daar Daar construit des ponts. Mais le projet ne s’arrête pas là. L’équipe, composée aujourd’hui d’une dizaine de personnes, a lancé Awel Awel, une plateforme gratuite d’apprentissage du néerlandais. Elle s’appuie sur des articles légers de Daar Daar pour proposer des exercices autocorrectifs et du matériel pédagogique aux enseignants. Une manière ludique de pratiquer la langue en lien direct avec l’actualité. Daar Daar organise également des ateliers bilingues et des formations interculturelles pour aider à surmonter les malentendus culturels. Car oui, les Wallons et les Flamands n’ont pas toujours les mêmes codes : là où les francophones aiment les mails chaleureux et les bises, les Flamands privilégient l’efficacité et vont droit au but. Comprendre ces différences permet d’éviter bien des incompréhensions, notamment dans le monde professionnel. Le projet propose aussi des rencontres jeunesse, pour que des étudiants francophones et néerlandophones apprennent à se connaître, à débattre et à travailler ensemble. Et pour ses dix ans, Daar Daar part en tournée en Wallonie et à Bruxelles : quizz, rencontres, échanges conviviaux avec les donateurs et sympathisants. L'initiative a aussi lancé Dring Dring, le podcast qui vous fait découvrir la Flandres à vélo. Un projet citoyen, indépendant et utile, qui ne vit que grâce au soutien de ses lecteurs. Soutenir Daar Daar, c’est miser sur une Belgique plus unie et moins cloisonnée. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Des pommes, des vergers hautes tiges et des achats groupés : faites vos jus, votre cidre et des économies

9/25/2025
L’automne est la saison idéale pour planter et récolter, et deux initiatives originales mettent les fruits à l’honneur. À Bruxelles, l'association Velt organise jusqu’au 1er octobre un achat groupé d’arbres fruitiers. Pommier, poirier, mûrier ou arbustes à petits fruits : près de 50 espèces sont proposées dans un catalogue en ligne, avec 10 % de réduction grâce à la commande collective. Les arbres, issus des Pépinières de la Hunelle, seront à retirer fin novembre dans différents points de la capitale. Une démarche qui s’inscrit dans la tendance de végétalisation des villes, déjà visible à Forest où la commune teste l’adaptation d’arbres fruitiers au réchauffement climatique. Depuis 7 ans, l’association a déjà permis de planter 7 500 arbres et vise désormais les 10 000, notamment via la création de vergers participatifs gérés collectivement par les habitants. Cap ensuite sur le pays de Herve, à Battice, où Adeline et Léandre ont relancé la tradition des vergers haute tige. Ces grands pommiers, essentiels à la biodiversité, avaient quasiment disparu depuis les années 50. Dans leur cidrerie-distillerie Constant-Berger, ils transforment les récoltes locales en cidres, jus et eaux-de-vie. Et mieux encore : les particuliers peuvent apporter leurs propres pommes (minimum 100 kg) pour fabriquer leur cidre. Après fermentation, chaque lot repart avec environ 150 canettes par 100 kg de fruits. Pour les amateurs sans pommiers, le pressoir propose aussi jus et produits maison à base de pommes de petit calibre. Et si vous n’habitez pas près de Liège ? Pas de panique : la Wallonie regorge de pressoirs accessibles aux particuliers. Parmi eux : PépipomFerme du Champ d’OiseauFerme de l’EstangueVerger MarchalPom d’HappyPressoir du Verger de Gaume De quoi redécouvrir les vergers comme espaces vivants, nourriciers et conviviaux, qu’ils soient urbains ou ruraux. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Harcèlement et la règle des 5 "D" : 5 clés pour agir quand on est témoin

9/23/2025
À l’occasion des Journées de l’engagement à l’ULB, l'association Touche pas à ma pote rappelle son combat : lutter contre le harcèlement sexiste dans l’espace public. Active depuis 2012, l’association intervient dans les écoles secondaires, les hautes écoles et les universités, via des ateliers interactifs de deux heures mêlant théorie et pratique. Leur objectif : montrer que chacun peut jouer un rôle, en particulier les témoins. Car dans une situation de harcèlement, il n’y a pas seulement un auteur et une victime, mais souvent aussi des témoins qui peuvent agir. Pour cela, l’asbl propose une méthode simple et concrète : celle des « 5 D ». DistraireDirigerDéléguerDocumenterDialoguerCette méthode vise à donner des outils concrets pour réagir, chacun à sa manière, sans se mettre en danger, mais toujours avec un même but : ne pas laisser la victime isolée. Touche pas à ma pote rappelle aussi qu'elle collabore avec la Ligue d'impro professionnelle. Des comédien·ne·s se rendent dans les écoles secondaires pour jouer des saynètes face aux ados liées au harcèlement de rue. Et le débat peut commencer... Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Fascinantes araignées : pourquoi il ne faut pas tuer ces bestioles à l'intelligence surprenante

9/22/2025
Elles sont 52 000 espèces dans le monde, composées à 80 % d’eau, et suscitent pourtant phobies et frissons : les araignées. Un quart des Européens en ont peur, 5 à 10 % en sont phobiques, alors qu’elles n’ont jamais tué personne sur notre continent. Pourtant, elles sont essentielles à l’équilibre écologique. Chaque année, elles consomment entre 400 et 800 millions de tonnes d’insectes, soit plus que ce que les humains mangent de viande et de poisson. Sans elles, les ravageurs pulluleraient et nos cultures seraient menacées. Mais leur rôle ne s’arrête pas là. Certaines font preuve d’une intelligence surprenante : la petite saltique africaine planifie ses trajets de chasse en anticipant et mémorisant le chemin pour atteindre sa proie. D’autres étonnent par leurs stratégies amoureuses : chez la pisaure admirable, le mâle doit offrir un cadeau nuptial enroulé de soie pour espérer s’accoupler. Les plus rusés emballent parfois… de simples débris ! Longtemps incomprises, ces créatures sont pourtant fascinantes : leur soie est l’un des matériaux naturels les plus résistants, leurs comportements nuptiaux ou sociaux sont d’une ingéniosité rare, et elles inspirent des recherches en biomimétisme. Comme le rappelle l’éthologue Raphaël Jeanson dans son ouvrage Dans la tête d’une araignée, comprendre et admirer ces animaux, c’est aussi apprendre à les respecter. Alors, la prochaine fois que vous en croisez une dans votre maison, souvenez-vous : elles ne remontent pas des canalisations mais glissent simplement dans la baignoire ou l’évier. Et plutôt que de l’écraser, aidez-la à retrouver sa liberté : elle est bien plus précieuse vivante. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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La laine belge, cette richesse locale sous-exploitée : comment et pourquoi revaloriser ce textile durable ?

9/19/2025
Saviez-vous que la Wallonie compte 95 000 moutons, soit près de 285 tonnes de laine par an ? Pourtant, cette ressource précieuse est très peu exploitée localement : trop de toisons finissent stockées, brûlées ou envoyées en Chine pour une transformation peu durable et de qualité médiocre. C’est pour inverser la tendance que six entrepreneuses ont lancé le salon Made in Wool, ce dimanche à Court-St-Etienne, réunissant 70 exposants. Le but ? Montrer que la laine belge mérite mieux. Car ses atouts sont nombreux : elle protège aussi bien du froid que du chaud, isole du bruit, résiste au feu, est hypoallergénique et biodégradable. De plus, un vêtement en laine peut durer 30 ans, preuve de sa durabilité. La laine est aussi une matière renouvelable : comme nos cheveux, elle repousse chaque année. Le salon mettra en avant des créations variées : vêtements, chaussettes, bijoux, luminaires, mais aussi feutres, isolants ou objets de décoration. On y rappellera aussi les étapes de transformation : lavage, cardage (démêlage), tricotage, tissage ou feutrage. C’est ce travail artisanal et industriel qui donne toute sa valeur à la laine. Au-delà de la créativité, il y a un enjeu économique : recréer une demande locale pour permettre aux éleveurs de vendre leur laine à un prix juste et sortir du cercle vicieux de la sous-valorisation. Made in Wool entend démontrer que cette ressource peut être une richesse pour nos territoires, nos artisans et notre planète. Infos pratiques et programme complet sur madeinwool.be. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Les bienfaits du sauna : traditions nordiques et versions insolites autour du monde

9/18/2025
Depuis mardi, la Belgique célèbre les Journées nationales du sauna, organisées par l’association belge du sauna. L’occasion de mettre en avant une pratique ancestrale venue du Nord, inscrite depuis 2020 au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO. Présent depuis plus de 2000 ans, le sauna a évolué des fosses creusées dans la terre aux cabanes en bois, jusqu’à devenir un véritable art de vivre. Un rituel classique dure entre 10 et 15 minutes, suivi d’une immersion froide ou d’une douche glacée, puis d’un temps de repos. Les bienfaits sont multiples : réduction du stress, amélioration du sommeil, soulagement des tensions musculaires, meilleure circulation sanguine et élimination des toxines. Une parenthèse sans écrans ni distractions, où l’on se recentre sur l’essentiel. Mais le sauna sait aussi surprendre. En Lettonie, le Beer Spa de Riga propose un sauna parfumé à la bière, accompagné de gommages au houblon et de massages aux bouquets de bouleau. Dans le folklore local, le « Pirts » reste un rituel sacré mêlant chaleur, nature et purification. À Montréal, le Bota Bota, installé sur une péniche, permet de profiter du panorama urbain en se relaxant. Et aujourd’hui, certains constructeurs proposent même des cabanes flottantes privées. En Belgique, l’originalité prend la forme d’un sauna mobile, un tonneau sur remorque ou une tente chauffée au feu de bois, idéal pour un événement festif. Quant au Japon, il innove avec le « sabus », des bus réaménagés en saunas itinérants, où les boutons d’arrêt sont devenus diffuseurs de vapeur. Preuve que cette tradition millénaire continue d’inspirer partout dans le monde. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Semaine de la mobilité : comment les vélos (individuels, long tail ou cargo) réduisent les bouchons en ville

9/16/2025
La Semaine de la mobilité s’ouvre aujourd’hui et met en lumière un mode de transport qui séduit de plus en plus : le vélo. Près d’un Belge sur cinq l’utilise pour se rendre au travail. Avec 10 % sur un vélo classique et 8 % sur un vélo électrique, la Belgique se hisse dans le top 3 européen, derrière les Pays-Bas et la Suède. Si la question écologique n'est jamais loin, le vélo séduit d'abord et avant tout car il fait gagner du temps et réduit la congestion du trafic. Depuis plusieurs années, on voit émerger de nouveaux modèles adaptés à la vie urbaine : long tails (chargement à l’arrière, idéal pour transporter les enfants) et vélos cargo (chargement à l’avant, plus spacieux). Plus coûteux à l’achat, ils remplacent pourtant efficacement une voiture. C’est le pari d’Etienne Richelle, fondateur de Bike 43, qui conçoit ses vélos à Anderlecht dans un atelier de travail adapté. Son ambition : contribuer à remplacer jusqu’à 10 000 voitures à Bruxelles. Reste la question de la sécurité. Pour se sentir à l’aise sur la route avec ces vélos plus imposants, il faut des infrastructures cyclables sûres, insiste Etienne. Les vols et le manque de parkings vélo font aussi partie des freins. Mais avec les assurances adaptées et un bon équipement pour contrer la météo, le vélo reste une alternative fiable et pratique. Le message de cette semaine n’est pas d’imposer le vélo à tous, mais d’inviter chacun à tester une alternative à la voiture : vélo, covoiturage, transports publics… C’est une question de solidarité : moins de voitures, c’est moins de bouchons et plus de fluidité pour tout le monde. Et rappelons-le : la mobilité la plus simple, économique et bénéfique pour la santé reste… la marche. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Semaine de la mobilité : des enfants en calèche pour aller à l'école, des petits policiers et des applis de covoiturage et d'autopartage

9/15/2025
La Semaine de la mobilité débute demain, avec un objectif clair : explorer des alternatives à la voiture individuelle. Partout en Belgique, écoles, entreprises et citoyens sont invités à repenser leurs trajets. Certaines initiatives se veulent aussi originales que pédagogiques : à Vielsalm, les élèves de primaire se mueront en « petits policiers » pour rappeler aux parents mal garés les règles de sécurité ; à Louvain-la-Neuve, une entreprise installe des pédaliers sous les bureaux pour allier travail et activité physique ; et à Welkenraedt, les enfants iront à l’école en calèche ! Le point d’orgue sera le dimanche sans voiture, à Bruxelles mais aussi à Ath, Spa et dans plusieurs villes flamandes comme Gand. L’occasion rêvée de redécouvrir la ville autrement et de réfléchir à des solutions durables comme le covoiturage. Saviez-vous que dans 4 voitures sur 5, il n’y a qu’un seul passager ? En mutualisant les trajets, on réduit les bouchons, on partage les frais et, via des outils comme Mobicalendar ou la plateforme Carpool (déjà 12 000 utilisateurs), on bénéficie même d’avantages fiscaux. Et pour aller plus loin, des applis comme Cozywheels permettent le partage de véhicules entre particuliers : une façon d’optimiser un bien qui reste à l’arrêt 95 % du temps et qui coûte en moyenne 7000 € par an. Le thème de cette édition est « la mobilité pour tous », avec un focus en Wallonie sur la santé. Car au-delà de la pollution, la sédentarité liée à la voiture augmente les risques de maladies cardiovasculaires et de stress. Une raison de plus pour marcher, pédaler, partager et choisir des modes de transport plus actifs et durables. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Maladie d'Alzheimer : au Japon, le restaurant des commandes erronées sensibilise à la démence

9/12/2025
À Tokyo, un lieu insolite bouscule les habitudes : le « restaurant des commandes erronées ». Ici, dans 4 cas sur 10, vos plats ne correspondent pas à votre commande… et c’est normal. Les clients sont volontairement servis par des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. L’idée ? Transformer l’erreur en expérience, sensibiliser le public et prolonger l’inclusion des malades dans la vie active. Ces journées spéciales ne sont pas quotidiennes : le restaurant fonctionne habituellement avec des serveurs valides, mais une fois par mois, des patients prennent le relais, reconnaissables à leur tablier orange, couleur associée au Japon à la communication sur la démence. Un geste symbolique dans un pays où plus de 6 millions de personnes vivent avec Alzheimer. En Belgique, la démence touche environ 220 000 personnes, dont 140 000 atteintes d’Alzheimer. Cette maladie neurodégénérative détruit progressivement les cellules nerveuses, affectant mémoire, langage, raisonnement et autonomie. Si elle reste incurable, les progrès récents de la recherche — avec près d’une centaine de traitements en développement — permettent de ralentir son évolution et d’atténuer les symptômes, à condition d’un diagnostic précoce. Des associations comme Alzheimer Belgique, Stop Alzheimer ou la Ligue Alzheimer offrent soutien, formation et ressources précieuses aux familles. Et la recherche continue : une récente étude allemande suggère que la maladie pourrait se manifester d’abord par une perte d’odorat, ouvrant la voie à un dépistage plus précoce. Un restaurant où l’erreur devient un outil de sensibilisation, un rappel que l’inclusion et la bienveillance font aussi partie du soin. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Trois rendez-vous inspirants : mieux manger, agir pour le climat, repenser l’éducation

9/11/2025
Vous aimez manger, agir et réfléchir à l’avenir ? Trois rendez-vous arrivent dans les prochaines semaines en Wallonie et en Brabant wallon, chacun avec une approche différente mais tous reliés par une même envie : construire un futur plus durable, plus joyeux et plus solidaire. Le premier rendez-vous s’adresse aux gourmandes et gourmands curieux : le festival « Manger mieux demain », organisé les 28 et 29 septembre à la ferme de Hors Champs à Gembloux. L’événement mettra à l’honneur les producteurs locaux et les pratiques culinaires responsables. Sur place : un grand marché de producteurs, des dégustations et des démonstrations par des chefs, mais aussi une multitude d’ateliers participatifs. Parmi eux : Concevoir et rédiger des recettes durablesCréer un potager au naturelDécouverte du kombuchaCharcuteries et terrines revisitées Deuxième rendez-vous, plus créatif et engagé : les ateliers préparatoires à la marche pour le climat prévue le 5 octobre. Parce qu’une marche, ça se prépare, des artistes proposent dès à présent des ateliers ouverts à toutes et tous pour créer costumes, décors collectifs et pancartes. L’objectif : donner une dimension festive, colorée et joyeuse à cette mobilisation citoyenne. En parallèle, le site coalitionclimat.be propose un quiz ludique pour découvrir son « profil climat » : un outil qui oriente chacun vers des actions adaptées à son degré d’engagement et ses freins éventuels. Une façon originale d’impliquer tout le monde, du plus convaincu au plus hésitant. Enfin, un troisième rendez-vous concerne l’éducation et la famille : le festival « Out of the Books », qui se tiendra à la Sucrerie de Wavre du 1ᵉʳ au 3 octobre. Cet événement propose conférences, stands et rencontres pour réfléchir à l’école de demain. Cinq axes seront particulièrement mis en avant : La ludopédagogieLes nouvelles technologiesLes pédagogies activesLes besoins spécifiquesLe bien-être et la lutte contre le harcèlement Trois événements, trois façons de se reconnecter à nos assiettes, à notre planète et à nos enfants. Trois invitations à agir, chacun à sa manière, pour façonner ensemble un avenir plus durable. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Solidarité : on vous présente "Better", le "Tinder" du don philanthropique en Belgique

9/9/2025
Vous aimeriez soutenir une association mais vous ne savez pas toujours laquelle choisir ? La plateforme belge Better propose une solution innovante et simple : un don récurrent, personnalisé selon vos valeurs. Après inscription, vous créez votre profil et sélectionnez les causes qui vous tiennent à cœur : climat, santé, éducation, inclusion, précarité… Ensuite, vous fixez le montant que vous pouvez donner chaque mois (à partir de 5 €, la moyenne étant de 15 €). Chaque mois, vous recevez une vidéo présentant une association correspondant à vos affinités. Si elle vous séduit, vous validez votre soutien pour le mois ; sinon, vous pouvez « swiper » pour découvrir une autre proposition. D’où le surnom de « Tinder de la philanthropie ». Résultat : jusqu’à 12 associations soutenues par an, parmi un réseau qui compte déjà 35 partenaires et qui s’élargit chaque année. Ce système profite aussi aux associations, qui consacrent en moyenne 40 % de leur temps à la recherche de fonds. Better leur libère un espace précieux pour se concentrer sur leur mission. Et pour les donateurs, même un petit montant a de l’impact : 10 000 personnes qui donnent 5 € par mois, c’est 50 000 € générés ! Parmi les associations déjà partenaires : Kick Cancer, qui lutte contre le cancer des enfants ; BeCode, qui forme au numérique les publics précarisés ; ou NoJavel, qui redistribue des invendus alimentaires. Une nouvelle façon de donner, plus moderne, plus simple et plus collective, à découvrir sur better-app.org. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Enjeux écologiques et solidaires : 60 animateurs de Good Planet sensibilisent les écoles et les entreprises

9/8/2025
Connaissez-vous GoodPlanet ? Depuis plus de 25 ans, cette association belge facilite le passage à la durabilité, surtout auprès des jeunes. Son équipe d’une soixantaine d’animateurs spécialisés (alimentation, biodiversité, déchets…) se rend directement dans les classes, de la primaire au secondaire, pour sensibiliser les élèves à l’écologie de manière fun et interactive. Les ateliers sont variés : Climate School, pour comprendre le dérèglement climatique et réfléchir aux solutions ; Cultiver demain, pour initier les élèves des filières agricoles à l’agroécologie ; ou encore La chasse aux matières premières, qui invite les enfants à explorer la composition des smartphones et tablettes afin de saisir l’importance du recyclage et de l’économie circulaire. En parallèle, GoodPlanet organise 6 challenges annuels. Le premier de cette rentrée, le 19 septembre, s’intitule Bougeons mieux : une journée dédiée à la mobilité douce, où les écoles sont invitées à imaginer des actions créatives pour inciter les élèves à venir à vélo, à pied ou en transport public. D’autres défis suivront, autour de l’alimentation locale, de la réduction des déchets, de l’énergie, de l'eau et de la reconnexion à la nature. Au-delà du monde scolaire, l’association intervient aussi dans les entreprises, avec des ateliers sur le numérique responsable, la mobilité ou encore le tourisme durable. Une démarche qui prouve que chacun peut agir, quel que soit son âge ou son cadre. Plus d’infos : goodplanet.be. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Grande première en Belgique : une école de cuisine 100 % végétale ouvre ses portes à Bruxelles

9/5/2025
C’est une petite révolution culinaire : Oxalis, la première école de cuisine 100 % végétale en Belgique, s’installe à Auderghem (chaussée de Wavre). À partir du 11 septembre 2025, particuliers et professionnels pourront y découvrir les multiples facettes d’une cuisine sans produits d’origine animale. Une ouverture qui répond à une demande croissante : 1 Belge sur 3 mange désormais végétarien au moins une fois par semaine. Oxalis rassemble une douzaine de chefs-formateurs spécialisés en alimentation durable, pâtisserie et boulangerie végétales, fermentation ou encore cuisine vivante. Les particuliers pourront suivre des ateliers de 3 à 4 h autour de thématiques gourmandes comme les sushis, les mezze, le barbecue végétal ou encore les classiques belges revisités. Pour les plus jeunes, des ateliers parents-enfants sont aussi prévus. Les professionnels de l’horeca ne sont pas en reste : une formation de 8 modules ou des cours thématiques leur permettront de se spécialiser dans la « cuisine du futur ». L’école est portée par Corentin Crutzen, chef passionné et pédagogue, convaincu que la transition alimentaire passera par le végétal. Parrainée par le chef étoilé René Mathieu, Oxalis organise une journée portes ouvertes le samedi 6 septembre avec ateliers découverte, avant le lancement officiel des cours le 11 septembre. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

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Santé mentale : un forfait mobile dégressif, une compétition pour ne rien faire à Séoul et un triathlon pas comme les autres

9/4/2025
Et si réduire nos écrans devenait aussi bon pour la planète que pour notre moral ? En France, la coopérative TeleCoop lance le premier forfait mobile dégressif. Votre facture s’ajuste automatiquement à votre consommation réelle : un forfait de 80 Go à 20 €, mais si vous n’en utilisez que 9, vous paierez 16 € le mois suivant. Un double bénéfice : moins de temps d’écran, donc moins de risques d’anxiété ou de dépression, et moins d’impact écologique, puisqu’1 giga de données mobilise l’équivalent de 200 litres d’eau pour les serveurs (ou un bain). Dans un autre registre, à Séoul, des centaines de personnes se sont rassemblées pour la Space Out Competition. Le principe : rester 90 minutes immobiles et silencieux, sans téléphone ni discussion, sous l’œil du public et de capteurs cardiaques. Une manière symbolique de ralentir dans une mégalopole qui ne dort jamais. Enfin, connaissez-vous le Mindful Triathlon ? Pas de vélo ni de nage, mais une combinaison de course, yoga et méditation guidée, organisé depuis 10 ans dans plusieurs grandes villes du monde. Un "triathlon du bien-être" qui, espérons-le, finira par poser son tapis en Belgique. Les prochaines éditions auront lieu les 20 et 21 septembre à Milan, le 27 à Venise et le 4 octobre à Rome. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

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Ateliers numériques : le codage, la programmation, l'informatique... bien plus qu'un truc de geek

9/2/2025
Selon une enquête relayée par The Times, 4 adolescents sur 10 disent manquer des compétences numériques nécessaires pour décrocher un emploi. Un paradoxe pour une génération née avec un smartphone à la main, mais qui ne maîtrise pas forcément les outils digitaux, et encore moins l’intelligence artificielle. D’où l’importance de sensibiliser dès le plus jeune âge, idéalement à l’école, à ces savoirs devenus essentiels. En attendant que le numérique entre partout dans les programmes, des solutions existent déjà à travers des ateliers extrascolaires. L’asbl CoderDojo propose gratuitement des clubs de programmation en Belgique, tandis que CodeNPlay offre des ateliers et stages pour les enfants du primaire. À Bruxelles, MolenGeek accompagne jeunes, adultes et même seniors pour réduire la fracture numérique. D’autres, comme Logiscool, organisent des cours hebdomadaires payants pour les enfants dès la 2ᵉ primaire. Animés par des étudiants en informatique, ces cours initient les enfants à l’usage basique d’un ordinateur, à la navigation sécurisée sur internet, mais aussi à la programmation. Avec des outils visuels et ludiques, ils apprennent pas à pas à créer leurs propres jeux vidéo. Au-delà de la technique, l’objectif est d’acquérir une logique algorithmique, de développer la créativité, la concentration, la persévérance… et surtout la confiance en soi. Une vraie utilité publique, alors que démarre la période d’inscriptions aux activités extrascolaires. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

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Larecup.be : une nouvelle plateforme de seconde main pour consommer local, circulaire et solidaire

9/1/2025
62 000 tonnes de biens et ressources sont récupérées chaque année en Wallonie et à Bruxelles, et près de 20 % trouvent une seconde vie en réemploi local. Le textile arrive en tête des dons, représentant plus de la moitié des produits collectés. C’est dans ce contexte que voit le jour larecup.be, une nouvelle plateforme belge d’achat d’occasion, lancée par la fédération Ressources. À première vue, on pourrait la comparer à Vinted, Marketplace ou 2ememain. Mais la différence est de taille : sur larecup.be, rien n’est vendu entre particuliers. Ici, chaque achat soutient l’économie sociale. Concrètement, vous achetez auprès de ressourceries, d’opérateurs de l’économie circulaire ou encore d’associations comme Les Petits Riens. Résultat : pas de risque d’arnaque, des produits contrôlés et vérifiés, et en prime des prix 50 à 70 % inférieurs au neuf. La plateforme propose un large choix : vêtements, déco, électroménager (avec une garantie d’un an), vélos, livres, mais aussi un secteur inédit : les matériaux de construction reconditionnés. Une avancée cruciale quand on sait que 50 % de l’empreinte écologique d’une maison est liée aux matériaux utilisés. Acheter via larecup.be, c’est donc réduire son empreinte, soutenir 2000 travailleurs de l’économie circulaire et privilégier le circuit court. Lancée officiellement ce matin, la plateforme ambitionne de rendre le réemploi plus simple, plus accessible et surtout plus local. Car consommer différemment, c’est aussi prendre soin de notre environnement… et de notre santé. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

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Voitures solaires : les étudiants belges brillent au championnat du monde en Australie

8/29/2025
Direction l’Australie pour le Bridgestone World Solar Challenge, la course mythique de 3000 km entre Darwin et Adélaïde. Tous les deux ans, les meilleures équipes du monde s’y affrontent avec des véhicules futuristes propulsés uniquement par l’énergie du soleil. Cette année, la Belgique a encore brillé : nos jeunes ingénieurs ont décroché la médaille de bronze, à seulement quelques secondes du podium supérieur. Depuis 20 ans, une équipe rattachée à la KU Leuven et à l’UCL conçoit une nouvelle voiture solaire tous les deux ans. Pour cette édition, vingt étudiants fraîchement diplômés ont consacré une année entière, travaillant jour et nuit, pour réaliser leur rêve : « Infinite Apollo », un bolide de 6 mètres de long, 170 kg seulement, recouvert de panneaux solaires. Capable d’atteindre 170 km/h, il roule en moyenne à 80-90 km/h et offre une autonomie de 300 km grâce à sa batterie intégrée. Plus incroyable encore, son système « Bounce » lui permet de s’abaisser pour réduire sa consommation d’énergie et de se relever sur route accidentée. Si ces prototypes ne sont pas encore destinés à nos routes, ils ouvrent des perspectives : demain, les voitures hybrides pourraient intégrer des panneaux solaires pour prolonger leur autonomie et réduire leur consommation. En attendant, nos étudiants prouvent une fois de plus que la Belgique est à la pointe mondiale de l’innovation durable, et qu’avec de l’audace et de la passion, tout devient possible.

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